Hivernage du Goéland brun Larus
fuscus
en Maine-et-Loire au cours des années
quatre-vingt-dix
par Gilles MOURGAUD
Résumé : À la faveur de
quelques décharges, le Goéland brun Larus
fuscus s'est solidement implanté en hiver dans le
département de Maine-et-Loire au cours des
années quatre-vingt-dix. Les deux dortoirs principaux
- le lac de Maine à Angers et le lac du Verdon
près de Cholet - peuvent accueillir chacun
jusqu'à 2 000-2 500 oiseaux au milieu
de l'hiver. Cette expansion est replacée dans un
contexte régional et national.
Introduction
À partir de la fin des années quatre-vingt,
les effectifs de Goélands bruns hivernant en France
ont augmenté de façon considérable
(CRÉAU & DUBOIS 1997).
En Maine-et-Loire, un suivi réalisé de l'hiver
1991-1992 à fin 1997 a permis de constater une
même progression.
La présente synthèse fait état de ce
suivi, particulièrement sur le site du lac de Maine
à Angers.
Elle est complétée par des données
provenant d'autres sites et donne des précisions sur
les sites d'alimentation utilisés en
journée.
Enfin, le bilan de ce suivi est replacé dans un
contexte régional et national.
1. Suivi des dortoirs hivernaux au lac de
Maine/Angers
1.1. Historique
Aussi loin que l'on puisse remonter dans les
synthèses ornithologiques annuelles du Groupe angevin
d'études ornithologiques (fin des années
soixante), il est fait mention du Goéland brun
en hiver.
Dès les années soixante, la décharge de
la Baumette située près de la Maine à
Angers rassemble régulièrement plus d'une
centaine d'individus en hiver (avec un maximum d'environ 355
le 13 février 1970 après une
tempête, BEAUDOIN 197). Le site n'est qu'un lieu
d'alimentation et les oiseaux se rassemblent en dortoir en
fin de journée sur la Loire au niveau de La
Daguenière, à moins de 5 km à vol
d'oiseau. Les oiseaux s'y rassemblent alors sur les
grèves, au sec et ne passent la nuit
qu'exceptionnellement sur l'eau.
Les niveaux d'eau élevés en Loire peuvent
entraîner un report des oiseaux sur les prairies
inondées des Basses Vallées Angevines qui
peuvent temporairement servir de site de dortoir
(BEAUDOIN 1975).
En 1975, la décharge d'Angers cesse son
activité.
Pour la première fois, les Goélands bruns
utilisent le lac de Maine de nuit : quelques individus
dans la nuit du 26 au 27 novembre 1975.
Les goélands ainsi que les Mouettes rieuses Larus
ridibundus se rassemblent toujours en reposoir sur le
site de la décharge. En revanche, ils sont de plus en
plus observés en train de rechercher leur nourriture
sur des labours dans la journée.
Quelques dizaines de Goélands bruns commencent
à utiliser régulièrement le site du lac
de Maine la nuit à partir de l'hiver 1978-1979.
1.2. Évolution récente
Au cours des années quatre-vingt, de faibles
effectifs de Goélands bruns sont notés dans la
région d'Angers.
Jusqu'à l'hiver 1990-1991, l'effectif hivernant ne
dépasse pas 65 individus.
En revanche, l'est de la Loire-Atlantique concentre
près d'un millier d'oiseaux sur le réservoir
de Vioreau/Joué-sur-Erdre. Les sources d'alimentation
proviennent alors essentiellement d'un élevage
avicole près du Pin - les goélands se servant
de l'étang du Pin comme reposoir - et la
décharge d'Ancenis. (TRÉVOUX 1988, RECORBET
1988).
À la fin des années quatre-vingt, deux
événements vont conditionner le retour des
Goélands bruns sur la région d'Angers. Il va
s'agir de l'ouverture d'une décharge intercommunale
à la Courtrie/Le Louroux-Béconnais
en 1988 et de celle de Tiercé à la
même époque.
Les effectifs de Goélands bruns au lac de Maine vont
commencer à augmenter dès l'hiver
1990-1991.
De 1990 à 1997, ils ne vont cesser de
croître pour atteindre les deux mille dès
l'hiver 1993-1994 puis se stabiliser autour de
2 000-2 500 les hivers
suivants (fig. 1).
Si la mise en place de l'hivernage a été
tardive en 1991-1992 avec un pic atteint seulement en
février, l'installation est aujourd'hui beaucoup plus
précoce avec des effectifs importants atteints
dès les mois d'octobre-novembre, ce qui semble
démontrer une fidélité de plus en plus
grande au site pour les hivernants et aussi des sources de
nourriture importantes à proximité.
1.3. Arrivée sur le site
L'heure d'arrivée sur le site va
dépendre beaucoup des conditions
météorologiques. Un ciel couvert et pluvieux
va la plupart du temps entraîner une arrivée
plus précoce des oiseaux sur le site en fin
d'après&endash;midi.
Il semble bien que ce soit la diminution de
l'intensité lumineuse qui conditionne le retour des
oiseaux sur le lieu de dortoir.
En décembre, les premiers individus arrivent sur le
lac vers 16 h (TU + 1, heure légale).
L'arrivée est progressive et d'un peu toutes les
directions. Les oiseaux se posent le plus souvent
près des rives, en compagnie des Mouettes rieuses et
procèdent alors à leur toilette.
Entre 17 h et 17 h 15, les vols plus
importants apparaissent.
En Loire-Atlantique, TRÉVOUX (1988), qui suit le
dortoir de plus d'un millier de Goélands bruns sur le
réservoir de Vioreau précise que
« 17 h est l'heure pivot où les
goélands arrivent en nombre d'une direction
précise ». En décembre, cette
« heure pivot » est voisine de
17 h 15 au lac de Maine.
Après 17 h 15, les arrivées sont
massives et les oiseaux se posent directement au milieu du
lac.
Les vols de quelques unités à plus de
150 individus se succèdent en continu. Les vols
les plus nombreux proviennent de l'ouest et du nord
où se situent les deux principaux lieux
d'alimentation autour d'Angers.
Les Goélands venant du nord arrivent souvent un peu
plus tôt que ceux de l'ouest.
Ainsi le 4 décembre 1997, tous les
goélands venant du nord, soit plus de
630 oiseaux sont passés à
17 h 25. Seulement 186 sont alors arrivés
de l'ouest et plus de 970 arrivent entre 17 h 30
et 18 h (soit un total de plus de
2 000 oiseaux).
Le 8 janvier 1998, 1 050 Goélands
bruns arrivent de l'ouest entre 17 h 35 et
18 h 05 et le lendemain, plus de 1 000 sont
présents sur la déchetterie de Tiercé
(soit un total d'environ 2 100 goélands
à destination du lac de Maine).
La part des oiseaux venant de la Loire amont ou aval est
souvent faible et ne dépasse pas quelques centaines
d'oiseaux. Très peu de Goélands bruns
continuent à utiliser les grèves de Loire
comme sites de dortoirs et seuls les Goélands
leucophées Larus cachinnans les
fréquentent en grand nombre, et ce dès la fin
de l'été.
Les derniers oiseaux arrivent avant que la nuit ne soit
complètement tombée. Je n'ai jamais
observé de vols nocturnes, contrairement à la
Mouette rieuse.
Les départs se font dès le lever du jour et
les goélands repartent vers les principales zones
d'alimentation.
1.4. Situation des zones d'alimentation
Les deux principales zones sont la décharge
intercommunale de la Courtrie au Louroux-Béconnais et
de Tiercé distantes chacune d'environ 25 km
d'Angers (fig. 3).
Les goélands fréquentent ces
décharges en semaine mais s'y rendent aussi le
dimanche alors qu'aucun apport de déchets n'a lieu.
Le 11 novembre 1997, jour férié sans
activité de la déchetterie, plus
de 760 goélands sont présents sur un
reposoir près de la décharge de
Tiercé.
Les effectifs de goélands présents sur les
décharges et les effectifs dénombrés
sur les voies d'arrivée au lac de Maine sont assez
similaires et peuvent permettre d'évaluer
régulièrement la part d'oiseaux
fréquentant tel ou tel site d'alimentation
(fig. 4).
Lorsque les Basses Vallées Angevines sont
inondées, les goélands et les mouettes peuvent
abandonner temporairement le lac de Maine et passer la nuit
sur les prairies.
C'est régulièrement le cas sur l'île
Saint-Aubin mais aussi à Soulaire-et-Bourg et
Cheffes-sur-Sarthe.
Le 29 décembre 1995,
> 850 Goélands bruns sont
présents sur le communal de Soulaire à
16 h 45. La plupart proviennent de Tiercé.
Les oiseaux ont ainsi moins de déplacement à
faire entre le site d'alimentation et le dortoir.
Si la majorité des Goélands bruns hivernant au
lac de Maine exploitent ces deux sites d'alimentation, ils
peuvent aussi rechercher leur nourriture sur d'autres zones
et notamment sur des cultures ou des prairies
inondées. Ils peuvent également se disperser
à plus de 30 km d'Angers comme je le constate
régulièrement près
d'Étriché avec des oiseaux passant en
direction du nord le matin et repassant en fin de
journée en direction d'Angers.
1.5. Structure de la population hivernante
Au lac de Maine, la distance d'observation des
oiseaux vus depuis la base nautique - soit entre 200 et
600 m -, les conditions d'éclairage souvent
faibles en fin d'après-midi et le grand nombre
d'oiseaux présents ne m'ont jamais vraiment permis
d'étudier précisément l'importance de
chaque classe d'âge.
Toutefois, les quelques estimations faites situent la part
des adultes et subadultes à 80-90 % entre
novembre et février. En mars, la part d'adultes
diminue au profit des immatures : � 5 adultes
sur 35 Goélands bruns le
19 mars 1992.
BEAUDOIN (1975) donnait les adultes majoritaires
d'août à mars (extrêmes :
63,1 % le 13 mars 1974 et 89,3 % le
12 novembre 1974). Il précise
également que « les immatures de second
hiver et les subadultes (c'est-à-dire immatures de
3e et 4e hiver) sont certainement
les classes d'âge les moins fournies. »
Il semble que cela soit toujours vrai sur la récente
période d'étude.
1.6. Identification des sous-espèces
Il est établi que la grande majorité
des Goélands bruns hivernant dans nos contrées
appartiennent à la sous-espèce
graellsii (CRAMP op. cit., MIGOT 1991).
Toutefois, quelques individus à manteau plus
foncé de la sous-espèce intermedius,
originaire du Danemark, du sud et de l'ouest de la
Norvège, hivernent régulièrement chez
nous.
La distance d'observation des oiseaux au dortoir du lac de
Maine n'a jamais permis d'apprécier correctement les
différentes teintes de plumage.
Seuls les oiseaux observés sur le site ou à
proximité de la décharge de la Courtrie ont pu
faire l'objet d'un examen attentif, la sous-espèce
intermedius étant représentée comme
suit (BEAUDOIN, comm. pers.) :
2-3 individus sur 85 adultes
examinés (2,4-3,5 %) le
9 janvier 1993 ;
5-6 sur 200 adultes (2,5-3 %)le
8 janvier 1994 ;
� 11 sur 212 adultes (5,2 %) le
25 février 1995 ;
5 sur 136 adultes (3,7 %) le
10 février 1996.
Le pourcentage représenté par cette
sous-espèce se situe donc entre 2,5 et 5 %. Il
est sans doute plus élevé compte tenu de la
présence vraisemblable d'immatures.
Les pourcentages relevés en Charente-Maritime sont
nettement plus importants (BURNELEAU
& DUBOIS 1985) :
en 1980 à Oléron, 33,5 %
se rattachent au phénotype intermedius sur un
échantillon de 302 oiseaux adultes (65,5 %
de graellsii et 1 %
d'indéterminés) ;
en 1983 en divers points des côtes
charentaises, 9 % se rattachent au phénotype
intermedius sur un échantillon de
877 oiseaux adultes (74 % de graellsii et
17 % d'indéterminés).
En 1989, deux groupes composés d'adultes et de
subadultes : 13 oiseaux le 11 mai puis 25 le
12 mai font une escale migratoire au lac du Verdon. Il
semble tous appartenir à la sous-espèce
intermedius.
Le baguage d'oiseaux à l'étranger n'a permis
qu'une seule reprise en Maine-et-Loire avec 1 individu
trouvé à Melay le 23 septembre 1952,
oiseau bagué l'année précédente
le 8 juillet 1951 à Pennine
Hills/Lancaster, Grande-Bretagne(LE MAO 1987). La
provenance de l'oiseau et l'époque de baguage
confirment la sous-espèce graellsii.
2. Autres sites d'hivernage du Goéland brun
dans le département
2.1. Le lac du Verdon près de Cholet
De sa mise en eau (1979-1980) à 1991,
seulement 24 données de Goéland brun ont
été recueillies dont 14 sur la période
hivernale. Les stationnements brefs concernent
1 individu en moyenne - avec un maximum de 4 le
4 janvier 1991 - (FERRAND et al.
1992) !
Les effectifs augmentent durant l'hiver 1992-1993 avec un
maximum de 18 oiseaux.
Ils atteignent le millier d'individus dès l'hiver
suivant puis les deux mille et ce de l'hiver 1994-1995
à 1996-1997 (fig. 2).
La raison de cette progression spectaculaire vient en partie
de l'ouverture d'une déchetterie près de La
Séguinière à la fin des années
quatre-vingt.
D'autres oiseaux proviennent de la Vendée mais aucune
recherche de source d'alimentation n'y a été
entreprise à ce jour.
2.2. L'étang Saint-Aubin à
Pouancé
Ce site accueillait 200 à
300 Goélands bruns durant l'hiver 1996-1997. La
source d'alimentation est proche et concerne encore une
décharge d'ordures à La Chapelle-Hullin.
3. Contexte régional et national
Dans la région, seuls les départements de
Loire-Atlantique - littoral et Loire jusqu'à Ancenis
- et de Vendée - littoral - accueillent
également plusieurs milliers de Goélands bruns
en hiver : respectivement 2 220 et 5 840 en
décembre 1996 (CRÉAU & DUBOIS op.
cit.).
En France, la progression des effectifs d'hivernants est
également spectaculaire.
En 1984, le précédent recensement
national donnait 7 948 Goélands bruns,
chiffre sans doute sous-estimé compte tenu d'une
couverture géographique imparfaite notamment sur le
littoral aquitain. L'effectif hivernant passe aujourd'hui
à 96 657 soit un chiffre 12 fois
supérieur.
En Maine-et-Loire, l'effectif passe de moins de 50 à
près de 4 500 soit 35 % du total
régional (12 840). Il est par ailleurs le
département intérieur à accueillir le
plus d'hivernants.
L'Aquitaine et le littoral des Landes accueillent la
fraction la plus importante avec plus de
76 000 oiseaux.
Il est également noté un accroissement de
l'hivernage dans le nord de la France avec plus de
3 500 oiseaux dans la région Nord -
Pas-de-Calais (CRÉAU & DUBOIS 1997).
4. Les causes de cette évolution
À l'échelon européen, la population
nicheuse a considérablement augmenté dans la
deuxième moitié de ce siècle pour
atteindre 200 000-250 000 couples. Le
Royaume-Uni avec 86 000 couples en constitue le
bastion principal. Arrivent ensuite la France avec
23 563 couples (1988), les Pays-Bas avec
24 000 couples (1990) et l'Islande avec
25 000-35 000 couples. Ces pays ont connu une
très nette augmentation entre 1970 et 1990
(TUCKER & HEATH 1994).
Depuis les années vingt, un changement important a
été signalé dans les habitudes
migratoires des Goélands bruns britanniques.
Hivernant tradition-nellement sur les côtes
ibériques et africaines, jusqu'en Mauritanie et
Sénégal, un pourcentage de plus en plus
important d'adultes et d'immatures de
2e hiver a eu tendance à se
sédentariser en hiver (CRAMP 1985). BAKER (1980) a pu
calculer que, de 1962 à 1975, la distance
moyenne de reprise des adultes s'était
déplacée vers le nord au rythme de
1,6 ° de latitude par an. En Grande-Bretagne, les
effectifs hivernants sont passés de 165 en 1953
(BARNES 1952) à plus de 55 000 en 1993
(CRÉAU & DUBOIS 1997). Ils sont constitués
d'un pourcentage élevé d'adultes et
d'immatures de 2e et 3e hiver
(BARNES 1961), les immatures de 1er hiver
continuant à migrer vers le sud.
Il est probable que le même phénomène se
soit produit en France avec des individus adultes hivernant
plus près de leurs colonies de reproduction où
une augmentation des effectifs nicheurs induirait aussi une
compétition plus grande pour la recherche de
territoires ce qu'a constaté BAKER (1980) en
Grande-Bretagne.
L'autre critère de maintien des hivernants dans un
département d'intérieur est bien la
présence de sources d'alimentation
régulièrement appro-visionnées. Le cas
du Maine-et-Loire en est un bon exemple.
La suppression de ces sources d'alimentation artificielles
dans un avenir assez proche pourrait contraindre les
Goélands bruns à rejoindre le littoral en
hiver.
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Archives et bulletins du Groupe angevin d'études
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